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Sous le feu du rasoir

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/11/2024

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Sous le feu du rasoir

Cela faisait plusieurs temps que je la voyais, juste en face de mon magasin, mais je ne pensais pas qu'elle en pousserait un jour la porte.
Je m'étais installé ici il y avait six mois de cela. Une belle boutique, toute neuve dans un local qui n'était plus occupé depuis des années. J'avais une double casquette: coiffeur et barbier. Je savais pertinemment qu'ouvrir un commerce en centre-ville, c'était compliqué, mais j'avais envie d'être indépendant, de travailler à mon compte.
La coiffure, c'était vraiment une passion pour moi, et j'y avais rajouté l'activité de barbier, qui je le savais, pouvait m'amener beaucoup de clients.
Et ça marchait plutôt bien. J'avais le sentiment que j'allais passer le cap, difficile, de la première année.
J'étais dans une rue essentiellement d'habitation, avec malgré tout quelques commerces. Des maisons souvent construites sur le même modèle, carrées, massives, qui avaient été rénovées.
Et juste en face du magasin, une maison à un étage, simple.
Tous les jours, je l'apercevais, et ce depuis que j'avais ouvert le magasin. Elle habitait juste en face. Elle partait le matin travailler, pour rentrer en fin d'après-midi. Difficile de ne pas la remarquer. Elle était magnifique. Brune, elle était très grande, avec des courbes voluptueuses, qu'il aurait été difficile de ne pas contempler, avec ses tenues près du corps, révélatrices, ou les deux. Elle exultait la sensualité.
Il y a des filles qu'on trouve très belles, mais on ne pense même pas qu'il pourrait se passer quelque chose. Ma vitrine symbolisait la séparation entre elle et moi. Nous évoluions chacun dans un univers et nous n'étions pas censés nous croiser. Ce que je pouvais faire, au grand maximum, c'était la mater, l'admirer et rêver de ce qui aurait pu se passer entre nous.
Et pourtant, ça ne s'est pas passé comme ça.
Comme quoi il ne faut jamais désespérer, et quand on voit une femme dont on a envie, on peut peut-être se retrouver dans une relation amoureuse avec elle.
Cela faisait donc six mois que j'avais ouvert ma boutique, quand, un soir, il était dix-neuf heures, j'allais fermer, elle a fait irruption.
C'était une chose de la voir à travers la vitrine, une autre de la voir de tout près.
Elle était encore plus belle de près que de loin. Il y avait quelque chose de vraiment troublant en elle. Tous les hommes qui la croisaient, qui travaillaient avec elle, devaient la convoiter.
J'ai pu capter et enregistrer toute une série de détails qui sont restés en moi, m'ont hanté. L'odeur si agréable de son parfum, un parfum que je ne connaissais pas, l'épaisseur et la brillance de ses cheveux, la manière dont ses formes étaient soulignées par un débardeur orange et un pantalon en vinyle ultra-moulant...Elle m'a fait un immense sourire, et ce sourire a éclairé son visage, la faisant encore plus belle.
— Bonjour, elle m'a dit. Je vois votre vitrine tous les jours, et je voudrais vous demander quelque chose de particulier.
— Je vous écoute.
Le pantalon dessinait son sexe d'une manière hallucinante. Je me suis demandé si elle avait une culotte dessous. J'ai eu la réponse quelques secondes plus tard, alors même que je ne m'y attendais pas.
— Je voudrais que vous me fassiez un rasage intime.
Je n'aurais pas été plus surpris si elle m'avait dit que les Martiens étaient en plein atterrissage sur la planète Terre.
— Un rasage intime ? Mais...Ben, justement c'est quelque chose d'intime. Enfin, généralement, on fait ça tout seul.
— Laissez-moi vous expliquer. Je le fais au rasoir et à chaque fois je me coupe, mais en plus, ça me fait un mal de chien après. Alors je ne veux plus me toucher. Je veux que ce soit quelqu'un qui me le fasse.
— Votre mec ?
— Je suis célib. Je suis prêt à vous payer le double du prix normal. Tenez, regardez, et dites-moi ce que vous en pensez.
Et hop, sans aucune pudeur, elle a défait le bouton qui tenait le pantalon de vinyle à sa taille, elle a tiré sur la fermeture-éclair, et elle a descendu le pantalon jusqu'à ses chevilles, l'enlevant. Elle a basculé sur l'un des sièges sur lesquels mes clients s'installaient. Je venais de baisser le volet roulant, heureusement qu'il n'y avait plus personne dans le local.
— Dites-moi ce que vous en pensez.
Elle avait effectivement une toison brune bien fournie, qui lui mangeait le pubis. Juste en dessous, il y avait l'ouverture de son sexe, une fente entrouverte dont sortaient deux lèvres bien charnues.
La situation était aussi surprenante que stabilisante. Et je me suis dit: 'Mais pourquoi pas après tout?' J'avais bien des demandes de coiffures incongrues, des rasages surprenants...
— On peut faire ça maintenant si vous voulez.
— Je n'ai pas le temps...Samedi soir, ça vous irait ?
Elle s'est redressée, attrapant son pantalon et le remontant le long de ses jambes. Pour prendre le pantalon, elle m'avait tourné le dos, me donnant à voir sa croupe bien charnue, que le mouvement vers le bas avait ouvert, me donnant aussi à voir sa chatte sous un autre angle, un gros bourrelet coupé en deux. Elle a remonté son pantalon, et je me suis dit que ça devait être une belle destinée que d'être son pantalon de vinyle. Passer sa journée contre sa chair, sa chaleur et son humidité.
Je l'ai regardée rentrer chez elle. Elle se déplaçait avec une souplesse féline, un léger mouvement des hanches, ses fesses tendant le vinyle qui tentait de se faufiler dans sa raie.
Le lendemain matin, je l'ai vue sortir de chez elle, et je me suis demandé si je n'avais pas rêvé ce moment la veille. Elle portait une simple et longue robe noire très moulante, qui descendait jusqu'à ses chevilles, mais était fendue haut sur le côté, et à chaque mouvement, la robe, qui ne l'empêchait pas de se déplacer, en la collant, mettait en valeur ses formes pleines. Quelle que soit sa tenue, quel que soit l'angle, elle était vraiment magnifique.
Et je devais raser sa toison pubienne d'ici deux jours.
J'y ai beaucoup pensé pendant ces deux journées. Partagé entre des sentiments et des pensées parfois contradictoires. Ce qui était une forme de joie de pouvoir avoir accès à la beauté de ce corps, que je voyais tous les matins enveloppé de matières diverses, cuir, vinyle, lycra, ou tissus plus classiques, l'interrogation sur une potentielle efficacité, tant je savais que je serais troublé, l'incongruité de sa demande, surréaliste, l'envie d'être vite à samedi, et, en même temps, de ne jamais y être...Une situation inédite en tout cas, et que je ne reverrais pas forcément de sitôt dans ma carrière.
Je me devais avant tout d'être professionnel. Elle me demandait de la raser, je la raserais.
Je devrais rester froid et objectif.
Le samedi soir est finalement arrivé. Je l'avais vue sortir de chez elle les jours précédents, et le matin aussi et je me demandais si elle viendrait bien.
Mais elle est arrivée sur le coup de dix-neuf heures. Je fermais à dix-neuf heures trente.
Une robe rouge, longue, qui collait à son corps somptueux, du nylon le long des jambes prises à partir de mi-cuisse par de superbes cuissardes rouges aux longs talons aiguille. Elle était vraiment magnifique.
— Je suis bien au rendez-vous. On y va?, elle a demandé en s'approchant d'une de mes chaises.
Elle s'est mise à nu très rapidement. Elle a roulé sa robe à sa taille, s'est calée sur la chaise, m'offrant son ventre, en ouvrant les cuisses. Dessous elle n'avait pas de slip, par contre, j'ai découvert avec surprise que le nylon qui gainait ses jambes n'était pas celui d'un collant mais de bas stay-up...Elle s'était faite sexy pour venir se faire raser.
Cette fois, j'y étais. Il fallait que j'agisse.
Je me suis approché. Raser un pubis ou une barbe, au final, ce n'était pas tellement différent.
Je me suis mis au travail. Je commençais toujours, quand on me demandait de raser une barbe, par bien humecter la peau avec un gant. J'avais une petite écuelle métallique. Je l'ai remplie d'eau chaude, et je suis venu balader le gant sur son pubis poilu. Elle m'a souri.
Contrairement à ce que j'avais pu imaginer, je me sentais plutôt à l'aise. Le professionnalisme l'emportait. Ce qui ne voulait pas dire que je n'étais pas troublé par la vision de son sexe. Et ce d'autant plus que celui-ci n'a cessé d'évoluer alors que j'agissais. D'évidence, mes mains sur elle la troublaient. C'était comme une sorte de caresse, il fallait bien le reconnaître.
Son sexe, contrairement à la première fois où je l'avais vu, était totalement clos. Le temps que j'humidifie peau et poils, la simple fente dans ses chairs s'est ouverte et ses lèvres sont apparues, en même temps que son gland clitoridien se décalottait. Impressionnant et troublant, tout comme le jaillissement de ce premier jet de mouille, qui est venu couler sur sa chair, et a été suivi par d'autres dans les secondes qui ont suivi, avant qu'elle ne coule en continu, le long de ses cuisses et dans sa raie, trempant le skaï des fauteuils. Je me suis dit que j'aurais pu mettre une serviette sous ses fesses, comme j'en mettais une autour du cou d'un homme dont je travaillais la barbe.
La seconde étape, c'était de recouvrir les poils d'une généreuse couche de mousse. J'utilisais des mousses pro, j'aimais en particulier une mousse crémeuse, parfumée à la lavande. Rien à voir avec ce qu'on pouvait trouver dans le commerce. Elle était bien épaisse, et elle sentait très bon.
Sa chatte a disparu sous la crème.
En tant que barbier, j'utilisais des outils traditionnels. Dont le fameux coupe-chou. Rien à voir là non plus avec le rasoir jetable de piètre qualité auquel elle était certainement accoutumée.
J'ai fait glisser la lame sur sa peau, emportant à chaque fois mousse et poils, qui allaient rejoindre une serviette. Elle avait les yeux mi-clos, et à chaque nouvelle caresse, différente dans son essence, elle semblait éprouver plus de plaisir. C'était en tout cas sans équivoque quand on regardait son sexe. Il était largement ouvert maintenant, on voyait sa muqueuse interne, toute rose, ses lèvres étaient dépliées, longues et épaisses, gorgées de sang, et son gland clitoridien pointait, en pleine érection. Un liquide visqueux coulait de son ventre, abondant...Si ça n'était pas de l'excitation...
Un dernier coup de rasoir et son pubis a été totalement imberbe. Une peau rose et lisse, et absolument plus aucune trace de poils.
J'avais une crème spéciale, que je m'étais fabriquée moi-même, avec une base d'aloé véra. Adoucissante, elle était supposée éviter les conséquences du rasage, le feu du rasoir, même si celui-ci était bien moindre avec un coupe-chou. J'en ai tartiné le bout de mes doigts, et je suis venu masser son pubis. Ultime caresse, aboutissement, caresse différente? En tout cas, elle s'est mise à gémir, ce qui n'avait pas été le cas auparavant. Je ne savais pas trop quoi faire, interrompre ma caresse, ou au contraire la prolonger. A vrai dire, la question ne s'est pas vraiment posée. Son ventre a été agité de spasmes, elle s'est tendue, et elle a éjaculé, crachant des jets copieux à travers la pièce. Je pourrais passer la serpillière.
Elle a repris ses esprits, m'a dit:
— Désolé, je ne pensais pas jouir. C'est une zone vraiment très sensible.
Elle a fait glisser sa robe sur elle-même, masquant sa nudité. Je pensais qu'elle allait descendre de la chaise, mais elle a de nouveau remonté sa robe.
— J'ai le ventre en feu...Vous ne voulez pas me donner du plaisir ? Vous avez les mains habiles et souples, et ce sera bien si c'est vous qui me donnez du plaisir.
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je me suis penché sur elle, et, tandis que je venais masturber entre le pouce et l'index son gland clitoridien, ma langue est venue elle fouiller l'entrée de son sexe, glissant sur ses lèvres, le long de leurs parois, dans leurs replis, s’immisçant sur les parois internes de sa vulve...C'était un ruisseau abondant qui irriguait ma bouche, celui des jus sécrétifs issus de son excitation, et je la buvais avec plaisir.
J'avais la queue en feu, tendue jusqu'à la douleur de désir. Je me suis libéré, et je me suis caressé pour me libérer de cette tension croissante.
C'est comme ça qu'elle a joui, éjaculant à plusieurs reprises, remplissant ma bouche de ses sécrétions, et m'arrosant le visage de ses liquides intimes.
Quand je me suis redressé, moi, je n'avais pas joui. Elle s'en est rendue compte, et elle a tendu la main vers moi.
— Oh, mon pauvre chéri, tu n'as pas joui. Viens, je vais m'occuper de toi.
Elle a attrapé ma queue, et elle m'a masturbé lentement. Qu'elle aille lentement ou vite, d'ailleurs, ça n'aurait et ça n'a pas changé grand chose. J'étais au bord de la jouissance. Elle a orienté mon gland dilaté à l'extrême vers la zone que je venais de raser. J'ai crié quand mon sperme est sorti en rasades crémeuses.
— Je suis sûre que c'est encore meilleur pour ma peau que la crème que tu viens de mettre.
Et elle a massé sa chair pour faire rentrer le sperme, avant de descendre la robe sur elle, cette fois pour de bon.
Elle s'est redressée. Plus radieuse que jamais.
— Tu voulais te faire raser la chatte ou du plaisir?
— Les deux. Je t'ai souvent remarqué le matin. J'ai vu que je te plaisais, et tu me plais aussi. Et puis comme j'ai vu que tu étais barbier...Et qu'effectivement, je me rase mal, j'avais envie d'un autre rasage. Je pensais que tu dirais oui. Même si ma demande était incongrue.
Elle a avancé de quelques pas, sortant des billets qu'elle a posés sur une banquette.
— Voilà pour le rasage. J'aimerais revenir la semaine prochaine. Un soir, pas forcément samedi. Maintenant que je suis toute douce, je veux conserver cet état. Et les poils ça revient vite.
Je l'ai regardée traverser la rue, la verge toujours dure même si j'avais joui, en pensant à ce qui pourrait venir, sans doute aussi bon que ce moment qu'on venait d'avoir.
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Histoire de JamesB

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